UOFFICE DE LA SAINTE VIERGE‘. A BIATINES. Je vous salue, Zllarie, etc. Ouvrez mes lèvres, roi des anges, Que je réponde à leurs concerts, Et ma bouche de vos louanges Fera retentir l'univers. O grand Dieu, de qui tout procède, 5' Qui faites et vivre et mourir, Ne me refusez pas votre aide, Hâtez-vons de me secourir. Gloire au Père, souverain maître! Gloire au Fils, à l’Esprit divin! 1o Et telle qu’elle étoit quand tout commença (l'être, Telle soit-elle encor maintenant et sans fin! Loue; le Seigneur. Ixv1'r,\'ro1n1:. Je vous salue, Illarie, pleine (le grâce : le Sezgizezzi‘ est avec vous. Je vous salue, Marie, pleine de g-râce : le Seigvzezzr‘ est (zvec vous. 1 . L’0f_'fice de la sainte Vierge traduit par Corneille est FOf/îcizun parvunz bealæ virginie‘ du Bréviaire romain. Du reste, dans tout ce volume, dédié à la Reine, notre poëte s'est conformé à la liturgie romaine, suivie par l'aumô- nerie royale, qui dépendait immédiatement du souverain pontifc. — Il y a ça et là de légères difÏérences entre le texte latin de Pèdition de i670 et celui du Bréviaire ronzain, aussi bien que de la Vulgate (v0) ez, par exemple, au psaume xLv, verset 6, p. loi; au psaume xcvu, verset 8, p.120, etc.) : ce sont probablement de pures inadvcrtanccs.