A BLXTINE S. Asrmxxrz. Après Ïenfantctzzcnl. PSAUME XCYII. Sion, encore un coup, par un nouveau cantique Des bontés du Seigneur bénis les hauts elÏets : Fais régner en tes murs l'allégresse publique, Pour les miracles qu'il a faits. Rien n'a pu te sauver que sa Llextre adorable, Qui t'a fait un triomphe après tant de combats; Et tu n'en dois enfin l'ouvrage incomparable Qu'a la sainteté de son bras. Son divin salutaire a paru dans le monde, Et (légagé la foi des révélations: Lui-même a dévoilé sa justice profonde A la face des nations. Il n'a point oublié quelle miséricorde Aux enfants dïsraël promit sa vérité : L'ell'et à la promesse heureusement s'accorde, On voit ce qu'on a souhaité. 119 U! I0 15 Oui, tout ce qu'a de bords l'un et l'autre hémisphère, Ceux où règne le jour, ceux où règne la nuit, Tout a vu du grand Dieu le sacré salutaire, Et les merveilles qu'il produit. Chantez, peuples, chantez, et par toute la terre Exaltez la vertu de son bras tout puissant : “entrez par votre joie au maître du tonnerre L'ell'ort d'un cœur reconnoissant. Nïîpärgnez point les luths à votre psalmodie; De la plus douce harpe îljllSteZ-y les tons; 20 a5